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Article N°24132
Municipales 2020 : Mme Barèges perd t-elle sa lucidité ?
Le 15 mars 2020, Mme Barèges entourée de tous ses colistiers -dont des médecins- claironne "qu'on ne meurt pas du COVID-19".
La réalité globale en France comme l'illustre un article du site internet du Monde le mardi 9 juin 2020 est tout autre : entre le 1er mars et le 30 avril 2020, la surmortalité par rapport à la moyenne des 10 dernières années atteint 33%. Mme la maire perd t-elle sa lucidité et vise t-elle le mandat de trop ?
La réalité globale en France comme l'illustre un article du site internet du Monde le mardi 9 juin 2020 est tout autre : entre le 1er mars et le 30 avril 2020, la surmortalité par rapport à la moyenne des 10 dernières années atteint 33%. Mme la maire perd t-elle sa lucidité et vise t-elle le mandat de trop ?
Brigitte Barèges le 15 mars 2020 : "On ne meurt pas du coronavirus" entourée par ses colistiers (dont plusieurs médecins...) dans les salons de la mairie sans aucun respect des mesures barrières.
Les faits sont tout autre à l'échelle du pays : +33% de mortalité par rapport à la moyenne 2000-2019 entre le 1er mars et le 30 avril comme l'illustre l'article du Monde publié le 9 juin 2020.
Citons l'article :
"Jusqu’au début du mois de mars, la mortalité de l’année 2020 pouvait être considérée comme « normale ». La France a ensuite fait face à un important excès de mortalité. La période comprise entre le 1er mars et le 30 avril établit un triste record, avec 129 343 décès enregistrés par l’Insee, contre 102 785 en 2019 et 110 841 en 2018 pour la même période.
Sur cette période, 2 120 décès ont été recensés en moyenne chaque jour par l’état civil, contre 1 590 en moyenne entre 2000 et 2019, soit une hausse quotidienne de 33 % en 2020. Depuis début avril, le nombre de morts semble toutefois diminuer sous l’effet probable des mesures d’endiguement de l’épidémie, et d’autres facteurs difficiles à mesurer pour le moment, comme la baisse de la mortalité routière. L’autre pic de mortalité notable au cours des deux décennies écoulées est celui causé par la canicule de 2003, mais sur une période plus courte de trois semaines."
Bien évidemment, il est toujours aisé de faire de l'analyse a posteriori, néanmoins la compétition électorale n'excuse pas la légéreté.
L'équipe de l'Alternative pour Montauban avait bien pris la mesure de la situation en étant les seuls à décider d'annuler leur meeting d'avant premier tour pour protéger les montalbanaises et les montalbanais.
On peut questionner la lucidité de Mme la maire, mise à mal par cette situation exceptionnelle certes, mais dont la charge nécessite la sérénité attendue en situation de crise. Et cela n'a pas été un cas isolé si l'on veut bien se souvenir que Montauban a été la dernière préfecture d'Occitanie à rouvrir ses écoles en raison des exigences disproportionnées de l'omnipotente maire qui a toujours raison contre tout le monde.
Heureusement que notre région était éloignée des zones de circulation massive du COVID-19 parce qu'avec une dirigeante comme cela...
A trop vouloir durer, perd-t-elle sa lucidité ?
Il est vraiment temps de passer à une autre gouvernance avec une équipe dynamique tournée vers l'avenir autour d'Arnaud Hilion et l'Alternative pour Montauban,
Ensemble, le Montauban d'après
Les faits sont tout autre à l'échelle du pays : +33% de mortalité par rapport à la moyenne 2000-2019 entre le 1er mars et le 30 avril comme l'illustre l'article du Monde publié le 9 juin 2020.
Citons l'article :
"Jusqu’au début du mois de mars, la mortalité de l’année 2020 pouvait être considérée comme « normale ». La France a ensuite fait face à un important excès de mortalité. La période comprise entre le 1er mars et le 30 avril établit un triste record, avec 129 343 décès enregistrés par l’Insee, contre 102 785 en 2019 et 110 841 en 2018 pour la même période.
Sur cette période, 2 120 décès ont été recensés en moyenne chaque jour par l’état civil, contre 1 590 en moyenne entre 2000 et 2019, soit une hausse quotidienne de 33 % en 2020. Depuis début avril, le nombre de morts semble toutefois diminuer sous l’effet probable des mesures d’endiguement de l’épidémie, et d’autres facteurs difficiles à mesurer pour le moment, comme la baisse de la mortalité routière. L’autre pic de mortalité notable au cours des deux décennies écoulées est celui causé par la canicule de 2003, mais sur une période plus courte de trois semaines."
Bien évidemment, il est toujours aisé de faire de l'analyse a posteriori, néanmoins la compétition électorale n'excuse pas la légéreté.
L'équipe de l'Alternative pour Montauban avait bien pris la mesure de la situation en étant les seuls à décider d'annuler leur meeting d'avant premier tour pour protéger les montalbanaises et les montalbanais.
On peut questionner la lucidité de Mme la maire, mise à mal par cette situation exceptionnelle certes, mais dont la charge nécessite la sérénité attendue en situation de crise. Et cela n'a pas été un cas isolé si l'on veut bien se souvenir que Montauban a été la dernière préfecture d'Occitanie à rouvrir ses écoles en raison des exigences disproportionnées de l'omnipotente maire qui a toujours raison contre tout le monde.
Heureusement que notre région était éloignée des zones de circulation massive du COVID-19 parce qu'avec une dirigeante comme cela...
A trop vouloir durer, perd-t-elle sa lucidité ?
Il est vraiment temps de passer à une autre gouvernance avec une équipe dynamique tournée vers l'avenir autour d'Arnaud Hilion et l'Alternative pour Montauban,
Ensemble, le Montauban d'après
Olivier FOURNET
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