Dès le lendemain du décès de Georges Floyd, un afro-américain tué par un policier blanc aux États-Unis, des émeutes et des manifestations ont embrasé le pays. Elles étaient de deux types.
Les premières ont été encadrées par des groupes violents altermondialistes et de l'ultra-gauche, les fameux antifas. En ce qui concerne les secondes, les rassemblements « pacifiques », la plupart des grands médias étasuniens et la gauche américaine ont profité de cette tragédie pour lancer un mouvement global dépassant le cadre des Etats-Unis afin qu''il s'étende à tout l'Occident.
Son principal leitmotiv est que l'homme blanc « privilégié » doit demander pardon de ses crimes.
Ainsi, de Washington à Sidney, en passant par Ottawa, Londres, Paris et Rome, les références à l'esclavage, à la ségrégation et à la colonisation sont à l'ordre du jour.
Dans ces manifestations qui traversent les capitales occidentales, on a vu des statues de grands hommes (Churchill, Colomb... et même Lincoln et Schœlcher) saccagées, voire déboulonnées. Pire, on a vu des activistes blancs se mettre ridiculement en scène en se prosternant ou encore en lavant les pieds de leurs camarades noirs, quand ils n'étaient pas tenus en chaînes par ces derniers !
De nombreux hommes politiques de premier plan se sont également agenouillés physiquement ou dans leurs déclarations publiques, comme le Premier ministre canadien Justin Trudeau, véritable prince et symbole du progressisme et du « vivre ensemble » dans le monde libre !
La France n'a pas été épargnée (...)
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