Depuis la fin du confinement les péripéties qui émaillent la vie publique du pays suscitent de plus en plus d'interrogations dans l'opinion. L'exploitation médiatique malsaine de la mort d'un américain lors d'une interpellation aux États Unis et celle d'un délinquant il y a quatre ans en région parisienne ont provoqué un effet "domino".
La suspicion de racisme généralisé au sein des forces de sécurité, le doute insupportable distillé par les déclarations du ministre de l'Intérieur, la complaisance de la ministre de la justice avec une famille dont les membres ne respectent pas la loi sont autant d'éléments qui perturbent une grande majorité de Français.
L'exécutif a une nouvelle fois montré sa pusillanimité qui contribue à affaiblir la notion d'autorité de l'État, laissant croire que l'émotion pourrait parfois prévaloir sur l'application de la loi.
Les opérations de représailles menées par des ressortissants tchétchènes à Dijon et la réaction tardive et timorée de la puissance publique accentuent ce sentiment de malaise.
Comment est-il possible dans notre pays que le son des kalachnikovs puisse retentir sans qu'il y ait une réaction énergique et immédiate ? (...)
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